Quant à la question des moyens à mettre en œuvre pour responsabiliser les élus quant à une réelle mixité au sein des collèges communaux, si la question a été posée, le ministre des pouvoirs locaux renvoie ça...à plus tard.
Qu'on ne se méprenne pas, je vise ici uniquement à
- relever la question de la légalité de la composition du nouveau Collège communal gembloutois (et le cas échéant dans d'autres communes)
- interpeller sur la mixité - il y a autant de femmes que d'hommes sur les listes, autant de femmes que d'hommes dans nos contrées. Alors pourquoi pas autant de femmes que d'hommes au sein des différents niveaux de pouvoir? Si la mixité des listes est bien prévue, c'est la manière dont on ne respecte pas l'électeur dans son choix de soutenir une liste (et donc sans voter les personnes individuellement mais une liste telle que proposée et donc aussi les femmes en place 2-4-6...) qui n'est pas respectée par un des partenaires de la majorité gembloutoise qui propose trois échevins hommes et un bourgmestre.
- interpeller sur la manière dont chacun met ou pas en évidence les femmes lors des élections. Si ce n'est pas pour donner une place distincte aux premières femmes sur une liste, alors ça frise à l'instrumentalisation...
Ce n'est pas un combat partisan (en terme de parti donc), mais un combat pour une réelle égalité hommes-femmes et donc oui sans doute un combat féministe que bien des hommes ont déjà intégré et que d'autres intègreront plus tard - cap 2018?
Article du Vers l'Avenir du 10 décembre 2012: un collège masculin...
Article de la Libre Belgique du 7.12.2012: pas de femmes...
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